Nouveau témoignage sur les bienfaits de la méditation

Alain Montalti, depuis son canapé, vous explique ce que lui a apporté la méditation de pleine conscience, dans le cadre d’un accompagnement individuel à mon cabinet.

Ou contactez-moi pour un accompagnement individuel :

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Ce que disent les participants de Tapas Y Plumas

Pour clore l’atelier d’écriture et détente, Tapas Y Plumas, ce mardi 5 avril, à la Maison Bronzini, dont le thème était le rapport au corps, j’ai demandé aux participants de travailler en binôme.
Chacun devait écrire le mot de la fin en sentant la présence des mains de son binôme sur ses épaules. Retour sur ce moment insolite et réconfortant, grâce aux écrits des participants…

Prochaine date : le 3 mai.

A l’issue de cet atelier, je sens la chaleur dans le corps, je me sens pleine d’énergie et de confiance.

Cathy

A l’issue de cet atelier… au moins j’ai fait quelque chose que je n’avais jamais fait en écrivant ! Je parlais bien sûr des mains sur les épaules de mon binôme.

Gérard

A l’issue de cet atelier, je me sens détendu. Tous ces derniers jours, je fus irrité, irritable, impatient. Ici, je me relâche, est-ce que cela sera durable, qu’importe ! Je profite du moment !

François

A l’issue de cet atelier, je me sens contente d’avoir partagé ce moment de réflexion philosophique…

ISA

A l’issue de cet atelier, je me sens léger comme la plume de l’aile de mon Ange, Mme Panda Tea, à peine retenu sur terre par un compagnon de souffrance terrestre.

Jean-luc

A l’issue de cet atelier très convivial, je me sens avec beaucoup moins de poids sur les épaules, serein, un peu bourré mais heureux. Les convives ont été charmants et talentueux. Je les en remercie sincèrement.

Alain

A l’issue de cet atelier, je me sens joyeuse, bien que toujours fatiguée. Comme à chaque fois, j’ai pris beaucoup de plaisir et les mains d’Alain, je les sens bienveillantes. Elles dégagent beaucoup de chaleur, c’est un peu une berceuse. Je ressens beaucoup de gratitude envers vous tous, car vous m’avez émue, fait sourire, détendue.

sophie
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Althéa Entreprise : un collectif d’intervenants en entreprise, pour le bien-être et la QVT

Vous recherchez des formateurs spécialisés dans le bien-être tous issus du monde l’entreprise ?
C’est chez Althéa Entreprise que ça se passe.

NB : il ne s’agit pas d’une communication officielle d’Althéa Entreprise, seulement une initiative personnelle

Althéa Entreprise, c’est quoi ?

C’est à la fois un lieu, une péniche aménagée sur le Rhône, pour recevoir vos collaborateurs, clients ou partenaires, mais également une offre de formation ou événement, catalogue ou sur-mesure. C’est l’interlocuteur du RH, du manager, du préventeur, du chef de projet… qui souhaite mettre en place des actions originales dans la région d’Avignon.

Pourquoi j’ai rejoint Althéa Entreprise

Parce que j’interviens déjà en collaboration avec la Péniche Althéa, où je dispense des séances d’apprentissage de la méditation de Pleine Conscience (Mindfulness) depuis janvier 2022. Quand le collectif m’a proposé de le rejoindre, cela m’a paru dans la continuité logique des collaborations entamées avec Séverine, la propriétaire de la péniche.

Et parce que l’énergie et la proposition faites m’enthousiasment et me motivent. Je suis indépendante, mais pas solitaire ! Et l’idée de proposer des actions ou formations avec d’autres membres du collectif a commencé à prendre forme très rapidement. Afin d’apporter une meilleure qualité de service aux entreprises.

Actu et coordonnées d’Althéa Entreprise

Nous serons salon CSE qui se tiendra le 31 mars au Parc des Expositions d’Avignon. Venez nous rencontrer.

Découvrez également la page internet : https://www.peniche-althea.fr/althea-entreprise
Ainsi que le flyer à télécharger ici !
Contacter Althéa Entreprise : severine@peniche-althea.fr – 06 75 69 23 30

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Interview de Cécilia Puche, danse thérapeute

Le soin par la danse, y avez-vous déjà pensé ? C’est parce que je l’ai expérimenté avec succès que je voulais faire la place dans mon blog à une thérapeute admirable.

NB : Quand j’ai créé la marque The Medi-Art Program, j’avais en tête de travailler avec un collectif de thérapeutes de confiance, pour pouvoir orienter les personnes qui me consultent vers des activités complémentaires à mon offre. Voici donc un zoom sur une professionnelle dont j’ai testé l’approche.

Cécilia Puche, quel est votre métier ?

Je suis danse art thérapeute certifiée de lʼIRFAT à Avignon. Amoureuse du mouvement depuis l’enfance, la vie m’a guidée vers la danse que je partage au travers de mes 12 années d’expériences professionnelles aussi bien pour des structures psychiatriques que pour un public homme et femme, tout âge confondu.

En quoi la danse est-elle vecteur de soin ?

C’est à travers l’accompagnement en mouvement que j’ai pu constater combien la danse
est vectrice de libération émotionnelle, d’acceptation de soi et de joie. Les ateliers que je propose sont avant tout un espace de rencontres humaines où chaque personne peut déposer au fil des séances ses difficultés à être, à s’autoriser, pour aller vers une meilleure confiance en soi.

J’ai choisi l’accompagnement de l’art thérapie pour être davantage à l’écoute de l’Être et
de ses besoins existentiels fondamentaux que sont l‘écoute, la reconnaissance de soi et
surtout valoriser toutes ses capacités à exister dans toutes les dimensions notamment
celles de sa créativité.
La danse est le média qui me touche plus particulièrement car elle
remet la personne au cœur de son mouvement, et ce malgré toutes les adversités
contextuelles. Elle permet cette ouverture indispensable à soi et aux autres, comme un
instrument de musique qui nécessite de se réaccorder en toute sécurité et sensibilité pour
résonner tout en fluidité.

Que proposez-vous dans vos ateliers ?

Je propose des ateliers qui remettent la personne au centre de ses besoins. Il est nécessaire de partir du postulat “comment je me sens” et “comment je sens mon corps”. Prendre conscience de son intériorité et de son état physique sont les piliers de l’atelier pour aller vers des propositions axées sur le Ressenti. Il ne peut y avoir de mouvement en conscience si le ressenti n’est pas présent. Il ne s’agit pas de faire mais de ressentir.

Je propose un accompagnement pour aller explorer son soi avec le mouvement libre et contacter tous les possibles qui permettent à tout un chacun de mieux se rencontrer, de mieux se connaître pour libérer les tensions physiques et psychocorporelles. Reprendre confiance en son pouvoir personnel en revenant à la notion “d’instant présent” pour mieux reconsidérer ses réels besoins. Retrouver respiration et ouverture de soi pour mettre davantage de souffle dans son quotidien !

Les ateliers de danse thérapie sont ouverts à toutes personnes qui souhaitent remettre du mouvement au cœur de leur vie, reprendre confiance en soi, atténuer et adoucir cette dualité présente depuis la nuit des temps pour parvenir à ressentir et penser légitimité !

Actu de Cécilia Puche, danse thérapeute

Atelier de danse thérapie à Avignon, les 26 et 30 mars de 14h à 17h30.

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Emotion et prévention : un chantier de la FAP

Qu’est-ce que la FAP ? Sur quoi travaillons-nous ? Quels sont les prochains événements ? Je vous donne quelques infos qui sont le fruit de mon expérience récente.

NB : il ne s’agit pas d’une communication officielle de la fédération, seulement une initiative personnelle

La FAP, c’est quoi ?

Une fédération des acteurs de la prévention des risques en entreprise. Elle regroupe une quarantaine de membres, ayant des activités variées : préventeurs dans les entreprises, consultants, formateurs, SST… Son rôle est plutôt celui d’un Think Tank, agitateur d’idée, et contributeur au niveau stratégique comme opérationnel sur les questions qui ont trait à la sécurité et à la prévention des risques. Ce n’est pas un réseau business, mais un réseau où l’on vient apporter sa contribution. La fédération peut être sollicitée pour des relectures de projet de loi ou décret, ce fut le cas par exemple sur la loi travail.

Pourquoi j’ai rejoint la FAP ?

Tout d’abord, parce que c’est un réseau d’Acteurs investis dans l’opérationnalité. Quand j’ai créé mon activité, mon but était de faire, d’apporter des solutions concrètes… en aval des diagnostics et plans d’action établis. Pour sensibiliser, former, donner des outils, accompagner. C’est cette orientation que je retrouve dans la FAP.

Et puis parce qu’humainement, je m’y suis sentie parfaitement à l’aise. Je cherche des environnements de travail ouverts, innovants, respectueux, humbles. Je pense que ces valeurs sont celles qui font l’identité de la FAP.

Et parce que je suis particulièrement sensible aux thèmes choisis par la FAP : la prévention des risques, notamment RPS, ont toujours été un cheval de bataille. J’ai été confrontée à des organisations violentes, des managers méprisants de la santé mentale et psychologique de leurs salariés. Eh oui, malheureusement, cette réalité, j’ai eu à la connaître bien souvent. J’ai pu parfois apporter des solutions, mettre un terme à des situations de harcèlement. Avec la FAP, c’est l’opportunité de continuer à œuvrer pour un monde du travail plus respectueux, plus intelligent, plus humain.

Qu’est-ce que je fais à la FAP ?

Je participe à un groupe de travail sur « L’impact des émotions sur la prévention et la sécurité ». Nous partageons des constats, notamment sur l’appréhension des organisations, dirigeants, managers ou salariés sur ce thème, mais surtout nous travaillons sur le comment : comment sensibiliser sur une prise en charge utile des émotions dans les relations de travail ? Comment appréhender les situations émotionnelles ? Comment prévenir la sécurité des personnels en tenant en compte du rôle des émotions dans les comportements ? Et nous formulons des propositions, pistes, expérimentations… issus de notre expérience, pas seulement de notre expertise.

Quoi d’autre sur la FAP ?

Elle travaille également sur le document unique > comment le transformer en document utile ? Sur la nouvelle loi travail et ses implications en matière de prévention… Si vous souhaitez rejoindre la FAP, c’est très simple : l’adhésion se fait en ligne. Votre motivation doit être à mon sens guidée par l’envie de participer à des groupes de travail.

Plus d’infos sur la FAP : https://www.federation-prevention.com/

Elle est présidé par Vincent Giraudeaux, élu manager bienveillant de l’année 2020. C’est grâce à Matthieu Petit, fondateur de la société EOSE à Carpentras que j’ai rejoint ses rangs.

Actu de la FAP
  • Webinar sur les émotions et la prévention : 15/04 à 11h30. Bientôt, on vous en dit +
  • Preventica Nantes et Lyon 2022 : organisation de forums ouverts « Prévhackthon » qui permettent aux participants d’apporter leurs contributions d’une manière active au thème choisi. Cette année est dédiée à nos ? A nos ?? EMOTIONS (eh oui, vous l’aurez compris 🙂

 FEDERATION DES ACTEURS DE LA PREVENTION
13, Rue Chevreul (chez Société Yséis)
94700 Maisons-Alfort
Téléphone : +33616790343
Email : contact@federation-prevention.com

dav
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Nouvelles dates pour la méditation de pleine conscience à la péniche Althéa !

Nouveau cycle à partir du mercredi 27 avril à la Péniche Althéa à Avignon !
Pendant 10 séances consécutives, apprenez à méditer en pleine conscience.
Pour les débutants qui souhaitent intégrer la méditation afin d’améliorer leur qualité de vie ou les pratiquants occasionnels qui souhaitent approfondir leur connaissance de la mindfulness.

Pour qui ?

Pour toutes les personnes désireuses de mieux se connaître et d’acquérir un nouvel outil pour améliorer sa qualité de vie. Il n’y a pas d’âge ou de condition physique pour méditer. Et tout le monde peut méditer, quel que soit son tempérament. Nous explorerons ensemble quelle pratique peut le mieux vous correspondre, afin de l’intégrer dans votre routine quotidienne.

Quels bénéfices ? (liste non exhaustive)
  • Cognitifs : amélioration de l’attention, de la concentration, de la mémorisation, des capacités d’organisation, de prise de recul, de priorisation, de décision…
  • Emotionnels : identification des émotions, régulation de l’humeur, prévention de la rechute en dépression, meilleure gestion du/des stress, accroissement de l’optimisme et du sentiment de bonheur…
  • Relationnels : meilleure présence à l’autre, meilleure qualité d’écoute, de compréhension, d’adaptation, optimisation des capacités de communication…
  • Physiologiques : amélioration du sommeil, régulation des systèmes nerveux, hormonal et cardiaque, détente musculaire et stimulation de la proprioception…
Le lieu ?

La péniche Althéa offre un cadre exceptionnel, facile d’accès, idéalement situé entre les Gard et le Vaucluse. Stationnement gratuit en proximité. La salle de pratique de 45 m², comportant une aération naturelle, nous permettra de pratiquer dans le respect des gestes barrières.

Quelles conditions ?
  • 225 € pour les 10 séances d’1h30, à la Péniche Althéa (me contacter si difficultés financières, nous trouverons une solution ensemble)
  • Tous les mercredi soirs à compter du 27 avril 2022, de 18h30 à 20h.
  • Dates indicatives : 27 avril, 4 – 11 – 18 – 25 mai, 1 – 8 juin.
  • Tapis de sol à disposition. A fournir : coussin ou banc de méditation, couverture ou tout autre matériel utile à votre bien-être.
  • Pour les personnes souffrant de douleurs corporelles, la méditation peut se pratiquer simplement assis sur une chaise ou allongé.
Comment se déroule l’apprentissage ?

L’apprentissage est constitué d’apports théoriques, de pratiques et d’échanges entre participants. Il est organisé de manière progressive et dans une logique qui favorise l’intégration des nouveaux savoirs par l’individu. Il a pour but de le guider vers l’autonomie dans sa pratique. Un programme d’exercices à réaliser à domicile est fixé entre chaque séance.

Au fil des séances, vous découvrirez avec la variété des exercices de pleine conscience : en mouvement ou statiques, assis, debout ou allongé, focalisés sur les sensations corporelles, les pensées, les ressentis émotionnels… etc. Les exercices et les apports théoriques varient de séance en séance, permettant ainsi l’intégration de nouveaux concepts et évitant l’ennui.

Quel prérequis ?

Aucun. Il est toutefois déconseillé de vous lancer dans l’apprentissage de la méditation si vous êtes en phase aigüe de dépression, ou si vous souffrez d’une pathologie psychiatrique sévère. Me contacter en cas de doute ou pour que je vous oriente vers des collègues dont la pratique sera plus adaptée.

Vos engagements ?

Une présence à chaque séance, autant que faire ce peut.
De la régularité dans la pratique, de la patience et de la persévérance.
De la tolérance et de la bienveillance, envers vous-même et envers les participants.

Vous souhaitez en savoir +++ ?

Visionnez ce témoignage d’une personne que j’ai accompagnée, consultez cette page ou encore, contactez-moi directement aux coordonnées indiquées ci-dessous.

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Une société de gloutons : mettons-nous au régime !

Ou une réflexion sur les bienfaits de créer un vide en nous, afin de choisir comment nous voulons vraiment le remplir

Le trop plein comme mode de vie

Notre société occidentale est celle de l’apparente abondance. Depuis plus d’un siècle, on a érigé pour nous un idéal : le fait de posséder serait devenu synonyme de puissance, d’épanouissement, voire de réalisation de soi (la strate la plus haute dans la pyramide des besoins de Maslow).

Le leitmotiv de notre société pourrait être aujourd’hui : « je consomme, donc je suis ».

Ca fait peur, hein ?

Cela nous a rendus boulimiques : posséder +, communiquer +, aller + vite, avoir + de sensations, faire + d’expériences, voir + de pays, avoir + d’amis sur les réseaux sociaux, poster +…

Toujours + + + + +

Cette abondance, couplée à l’agitation qu’elle génère, comble nos vies. Et nous donne l’impression « profiter ». Car IL FAUT PROFITER. Nous répète-t-on.

Quand j’ai commencé à travailler, je me souviens de la consternation d’un de mes amis à qui je répondais : « Ce week-end ? Je ne fais rien de particulier » quand il me demandait ce que j’avais prévu. Or, le luxe pour moi, après des semaines passées à organiser, planifier, mettre en œuvre (j’étais alors chef de projet), c’était de laisser place à l’improvisation au gré de mes envies. Un temps de liberté créative, finalement. Mais je n’arrivais pas à bien le vivre : le regard des autres, leur encouragement à « profiter », leur incompréhension de mon besoin de repos, me faisaient sentir tour à tour coupable, honteuse, décalée… Double peine, donc : non seulement, je devais fournir un effort supplémentaire pour m’adapter à ce qu’il semblait socialement convenable, et je ne me reposais pas. J’ai mis beaucoup de temps à assumer cet part de ma personnalité : contemplative, libre de tout engagement, aspirant au calme et à la lenteur. Mais en l’accueillant sans la juger, j’ai fini par faire des rencontres qui comprenaient, respectaient, voire partageaient mes besoins. Pour une meilleure qualité de vie.

Le sentiment de mal-être procuré par le vide

J’ai donc beaucoup réfléchi à ces mécanismes. Je me suis demandée : finalement, que se passe-t-il quand le vide se présente ? Quand nous n’avons rien prévu le week-end ? Quand nous n’avons pas d’amis disponibles pour échanger ? Quand notre téléphone ne sonne pas ? Quand nous ne recevons pas de mail ? Quand nous avons finalement du temps libre ?

J’ai observé bien souvent que ce vide était généralement source d’inquiétude, de stress, d’impatience. L’impression de perdre son temps, de ne pas vivre pleinement… et sous-jacent, la difficulté à être face à nous-mêmes. Dans la simplicité de son être, sans les artifices que nous procure le mode « faire ».

L’absence d’activité peut être une joie, à condition toutefois d’être en bon terme avec soi-même.

L’intérêt de renouer avec le vide

Or, quand nous avons un moment de répit, que se passe-t-il pour nous ?

Nous avons des opportunités multiples :

  • se reconnecter avec nos sensations, nos émotions et nos pensées, et faire état de soi,
  • se reconnecter avec notre environnement direct, prendre conscience de sa présence,
  • prendre ce fameux recul, nécessaire à la résolution de problématiques complexes,
  • abaisser la pression, réguler ses émotions, se relaxer, récupérer,
  • laisser de la place au choix, cesser de subir l’agitation incessante, pour libérer de l’espace et finalement aller vers ce qui nous convient le mieux.

Et physiologiquement, notre cerveau à besoin d’instants de repos, sans interaction avec l’environnement. Ils sont favorables à la mémorisation, la régulation des émotions, et bien sûr, à l’introspection éclairée. Un petit article ici qui fait état des recherches scientifiques sur le sujet, à l’aide de l’imagerie cérébrale (2019).

Les solutions pour appréhender positivement le vide

Quelques réflexions qui peuvent vous guider pour vous réconcilier avec le vide si vous en avez assez de votre boulimie :

  • Le vide, c’est l’espace de tous les possibles. Voyons le, non plus comme une punition, un manque, une absence, mais plutôt comme une page blanche sur laquelle on peut écrire tout ce que l’on veut.
  • Résistons à la tyrannie de l’hyperactivité : réussir, ce n’est pas forcément avoir plein de projets. Vous pouvez avoir plein de projets et être très malheureux. Le projet à prioriser n’est-il pas votre bien-être, pour évoluer positivement dans votre vie et en relation avec les autres ? Alors si votre bien-être passe par ne pas avoir de projet, ne vous laissez pas influencer par votre environnement qui vous explique que le projet, c’est la vie.
  • Assumons de ne rien faire. Car on ne fait jamais rien, même quand on dort. Les pires ennemis des temps de farniente sont notamment la culpabilité, le sentiment d’inutilité, ou l’angoisse de « rater quelque chose ».
  • N’oubliez pas que ces moments sont sources d’inspiration, d’imagination, d’apaisement. Votre bien-être ira en s’accroissant. Si vous n’osez pas au début, pensez aux conséquences bienfaisantes pour vous, cela peut vous motiver.
  • Si l’angoisse du vide ou le face à face avec vous-même est insupportable, envisagez un accompagnement axé sur la réconciliation avec votre être, le traitement de l’anxiété, ou encore et toujours, testez la méditation !

Illustration : Xav

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Un atelier d’écriture, c’est quoi en fait ?

On peut être surpris de la proposition : se réunir, entre inconnus, pour écrire ensemble. Sans aucune technique littéraire, sans aucune intention particulière hormis celle d’essayer et de partager un moment. J’avais envie de vous décrire un peu plus cette proposition, afin de vous engager à tenter l’expérience de Tapas y Plumas, tous les 1ers mardis du mois à la Maison Bronzini.

La naissance de l’idée

Lorsque je travaillais dans le développement économique, sur des postes à responsabilité, je travaillais jusqu’à 60h par semaine, y compris en soirée. Ces soirées étaient souvent consacrées à des réunions, afterwork, networking, aux noms divers et variés. Mais elles se ressemblaient toujours plus ou moins. Je rencontrais une multitude de personnes, « faisais du réseau », et finissais ma journée dans le vacarme et l’agitation, épuisée.

Par la suite, dans mon parcours de vie, j’ai découvert ô combien l’acte de créer était régénérateur, apaisant, bienfaisant pour moi. Il abaissait mes tensions, améliorait ma concentration et ma mémoire, et me procurait un sentiment de joie, de plaisir, de fierté mélangés.

Quand j’ai créé mon entreprise, je l’ai fait en pensant que comme moi, des personnes auraient peut-être envie qu’on leur propose un sas de décompression original après le travail, et une alternative pour développer son réseau différemment, tout en prenant du temps pour soi, pour se faire plaisir. J’ai alors créé les ateliers écriture et détente, inspirés des pratiques d’art-thérapie. En décembre, « Des bulles et votre plume » et à la rentrée de janvier, « Tapas y Plumas ».

Et concrètement, ça se passe comment ?

On me dit souvent en arrivant à l’atelier : « je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé ». Ou encore : « Je viens avec une grande curiosité ».

Tout d’abord, nous démarrons par l’exposé des règles de fonctionnement, qui permettent à chacun de comprendre comment il va pouvoir évoluer dans cet atelier. Bien évidemment, j’insiste sur la liberté des participants, de réaliser ou non les exercices, de partager ou non les textes qu’ils ont produits. Cela permet de mettre tout le monde à l’aise. J’évoque également le non-jugement, vis-à-vis de soi-même, de sa capacité à écrire ce soir-là, et évidemment vis-à-vis des autres écrivains d’un soir. Nous ne sommes pas là pour évaluer la qualité d’un texte, mais seulement pour découvrir l’univers des autres et dévoiler un peu du nôtre. Ainsi, chacun va s’essayer à l’écriture intuitive, la main guidée par la spontanéité de ses pensées, et voir ce que cela donne.

Et c’est parti ! Je lance toujours l’atelier par un petit exercice d’échauffement, qui consiste à se présenter, selon une consigne établie. Puis, selon le thème choisi pour l’atelier, nous progressons ensemble. Je propose alternativement des exercices individuels, des exercices en groupe, en duo, des exercices très contraints, des exercices plus libres.

Chaque atelier a son propre fil conducteur, qui peut évoluer avec l’apport des participants : trésor, gratitude, imagination, absurde, rencontre… Chaque exercice est choisi pour explorer le thème de jour.

L’ensemble de l’atelier à pour visée :

  • la détente, le lâcher-prise ;
  • le divertissement ;
  • la rencontre de soi et des autres ;
  • l’expérimentation ;
  • la stimulation de notre cerveau.
Qu’en disent les participants ?

Quelques phrases notées pendant et après l’atelier :

« J’aime écouter les textes des participants, qui m’apportent autant que le fait d’écrire »

David, courtier

« J’ai beaucoup aimé l’ambiance, ça fait du bien, c’était super »

Anne-Laure, chef d’entreprise

« Je viens ici pour mieux me connaître, au travers de ce geste d’écrire »

Pierre-Henri, consultant

« Je viens ici pour me détendre, pour partager la joie de cet atelier »

Cathy, médecin

« C’est dingue la multiplicité des univers proposés par chacun. Ca part dans tous les sens, c’est très impressionnant »

Sophie, coach

« Je suis parti dans mes délires, ça m’a fait du bien »

Alain, retraité.

Ceci vous parle ? N’hésitez plus, rejoignez-nous tous les 1ers mardis du mois à la Maison Bronzini pour l’atelier Tapas y Plumas, on fournit les tapas, vous apportez votre plume !

Marion NUSSBAUMER

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Une mood’iathèque anti blue-monday


L’image de soi et le regard des autres
La différence au travail / Croire en ses rêves
La consommation de stupéfiant et les conduites à risque
Les conséquences d’une qualité de sommeil dégradée
Les effets du stress sur les comportements alimentaires
LE RIRE : UN ANTI BLUES NATUREL ET GRATUIT !

Nous venons de traverser la semaine du blue monday, officiellement déclaré jour le plus déprimant de toute l’année. Voici plus d’infos ici (et c’est mesuré par des études scientifiques ! Diiiingue !). A cela, vous rajoutez une belle pleine lune toute ronde, du mistral, des annonces gouvernementales, la flambée des contaminations… vous êtes censés obtenir un super cocktail booster de déprime.

Je pense surtout qu’une focalisation médiatique sur cet événement contribue à nous conditionner « dans le mal ».

Pour contrebalancer cela, je vous propose dans la mood’iathèque de janvier, un panel de vidéos qui m’amusent ! J’ai pioché dans la série d’animation « Minuscule » des vidéos de développement personnel. Si, si, je vous jure.

Pourquoi je trouve cette série bonne pour la santé mentale ?

  • Parce que rire, c’est un antistress et un antidépresseur naturel. Ca vous intéresse ? Voici une très bonne émission à visionner.
  • Parce qu’il a été prouvé par des études que regarder des images de nature, même au travers d’un écran, réduirait le sentiment d’ennui ou de tristesse. (source journal of environmental psychology, 2020). En savoir +++.
  • Parce qu’il n’y a pas de dialogue et qu’on peut focaliser son attention sur l’observation des images et des sons, et que ça allège la charge d’informations à traiter. Un divertissement facile d’accès, donc.
  • Parce que c’est lent. Et la lenteur, ça aide à se poser, à s’apaiser, à se relâcher.
  • Parce que les scènes mises en animation font écho à des situations banales de notre vie quotidienne, et qu’il est plus facile de rire de situations familières.
  • Parce que la série propose des personnages récurrents auxquels on finit par s’attacher, et cet affect léger, c’est bon pour le moral.

Après, l’humour, c’est comme l’alimentation : c’est une question de goût ! Il n’y a rien d’universel, ce qui me fait rire ne vous amusera peut-être pas et inversement. Mais tant qu’on ne le partage pas, on ne peut pas savoir. Bon visionnage !

Marion Nussbaumer
Consultante Relation d’Aide et Management
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